- Indications thérapeutiques
La crème rectale Doloproct est utilisée pour la résolution symptomatique de la douleur et de l’inflammation chez les adultes en cas de maladies hémorroïdaires, de rectite non infectée et d’eczéma anal. - Posologie et posologie
Le médicament doit être pris selon les doses et les méthodes suivantes : La crème rectale Doloproct doit être appliquée deux fois par jour, le matin et le soir (jusqu’à environ 1 g de crème par application). Au cours des premiers jours de traitement, elle peut être appliquée trois fois par jour. Pour améliorer les symptômes, une seule application par jour est souvent suffisante. La durée totale du traitement ne doit pas dépasser 2 semaines.
L’utilisation de Doloproct n’est pas recommandée chez les enfants de moins de 18 ans en raison d’un manque de données sur la sécurité et l’efficacité.
Il est conseillé d’appliquer Doloproct après la défécation. La région anale doit être soigneusement nettoyée avant l’application. Appliquez une unité de crème rectale Doloproct sur la région anale en utilisant le bout du doigt pour vaincre la résistance du sphincter. Une unité de bout de doigt correspond à la quantité de crème rectale extraite du tube et appliquée sur la surface de la phalange de l’index d’un adulte. Si la crème rectale Doloproct doit être appliquée à l’intérieur du rectum, vissez l’applicateur fourni sur le tube et insérez l’extrémité dans l’anus. Une petite quantité de crème peut ensuite être appliquée en exerçant une légère pression sur le tube.
- Surdosage
Les résultats des études de toxicité aiguë menées sur les substances actives de Doloproct montrent qu’il n’y a aucun risque de développer des symptômes toxiques aigus suite à un surdosage accidentel après une seule application rectale ou périanale de Doloproct. Après ingestion accidentelle de la préparation (par exemple en cas d’ingestion de plusieurs grammes de crème), les principaux symptômes prévisibles sont les symptômes systémiques imputables au chlorhydrate de lidocaïne qui, selon la dose, peuvent se manifester sous la forme de symptômes cardiovasculaires graves (dépression de la fonction cardiaque ou, dans les cas extrêmes, arrêt cardiaque), ou de symptômes du système nerveux central (convulsions, dyspnée ou, dans les cas extrêmes, insuffisance respiratoire).
Le traitement d’un surdosage comprend une surveillance attentive des fonctions vitales, des mesures de soutien, notamment l’administration d’oxygène, et un traitement symptomatique des troubles centraux et cardiovasculaires, par exemple avec des barbituriques à courte durée d’action, des bêtasympathomimétiques, de l’atropine. La dialyse est peu utile.
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